Doch nicht so leer – doppelt Glück (texte égale ent traduit)
pos: 08:05.175 S 122:36.129 W (entre Galapagos et Marquises) Am 20.4. stellte ich im Blog ernüchtert fest, dass das Meer ausser etwas Kleingetier und dem Thunfisch, der sich an die Denis’ Angel verirrt hatte, offenbar leer sei. Mit tiefer verlegener Verbeugung darf ich bekannt geben, dass dieses Urteil offensichtlich vorschnell erfolgte. Gestern Samstag, 22.4., um 11.45 Uhr morgens sichteten wir mehrere kleinere Delfine, die sich uns von Steuerbord hinten näherten. Und bald schon wurden grössere gesichtet, die, von Backbord kommend, kurz vor dem Bug kreuzten. Insgesamt war es eine relativ unorganisierte Show, die da wenige Minuten im Gange war. Zu diesem Zeitpunkt sah ich voraus auf 10 Uhr, in etwa 100m Distanz ein brandschwarzes Objekt senkrecht aus dem Wasser auftauchen, das ich unvermittelt mit der Nase eines Pottwales in Verbindung brachte, da ja eine Fahrwassertonne hier nicht zu erwarten war. Nur Sekunden später beobachteten wir mehrere Gruppen von Walen, die offensichtlich an der Oberfläche ruhten. Jedenfalls war keine Tauchtätigkeit oder andere Aktivität feststellbar, ausser einem Wal, der unser Achterwasser gemächlich kreuzte. Falls jemand hingehen und nachschauen möchte, hier ist die Position: 8°08’ südliche Breite / 116°56’ westliche Länge. In der Begeisterung vernachlässigte ich meine Pflichten als Wachgänger und filmte eine nahe Gruppe, als unvermittelt in weniger als einer Bootslänge Distanz (<15m) eine Gruppe von zwei oder drei Walen vorbeizog und so zufällig auf dem Video erhalten ist. Es fragt sich, ob sie etwa einen Flossenschlag getan hatten, damit wir nicht mit ihnen zusammenstiessen. Wir waren mit der Schmetterlings-Besegelung vor dem Winde mit 6 kn unterwegs, d.h. Genua und Fock waren je auf einer Seite ausgebaumt, kein Grosssegel. Eine einfache und ruhige Segelweise, wie gemacht für Walbeobachtung. Die nahe Begegnung erinnerte mich subito daran, dass ich mich wieder der Beobachtung des Weges zu widmen hatte! Allerdings ist zu sagen, dass bei den ca. zwei Meter Wellengang die Sichtung eines ruhenden Wales wohl keine Zeit für ein Ausweichmanöver mehr liesse. Wir hatten also doppelt Glück: Einerseits hatten wir das Privileg, diese Wale aus kurzer Distanz beobachten zu können und andrerseits hatten wir das grosse Glück, nicht mit ihnen zusammenzustossen. Am 13. März hatte die Yacht ‘Raindancer’ nicht das Glück, als sie in diesem Gebiet mit einem schlafenden Wal zusammenstiess und in der Folge innert 15 Minuten sank. Die Crew konnte das Schiff geordnet verlassen und wurde nach wenigen Stunden, dank dem hohen Stand moderner Kommunikations- und Rettungsmittel, von in der Nähe segelnden Yachten aufgefischt. https://www.worldcruising.com/newsarticle.aspx?page=S638150865663939602&ArchiveID=1&CategoryID=190&ItemID=273272&src=""> Es gibt offene Fragen und Beobachtungen zu diesem Erlebnis:
Der Bericht über unser Erlebnis unter Positionsangabe löste bei der nachmittäglichen SSB – Funkrunde einige Aufregung aus. Insbesondere wurde die Kollisionsprävention diskutiert, sofern man dem Gebiet nicht ausweichen konnte. Der beste Vorschlag schien der zu sein, dass man einen Generator oder sonst einen Motor laufen lasse, um Schallwellen ins Wasser abzusetzen. 23. März 2023 Daniel Giesbrecht Mer pas si vide que ça - double chance Le 20 avril, j'ai écrit que la mer était apparemment vide, à l'exception de quelques petits animaux et du thon qui s'était égaré à la canne à pêche de Denis. C'est avec une profonde révérence que je peux annoncer que ce jugement était manifestement hâtif. Hier, samedi 22 avril, à 11h45 du matin, nous avons aperçu plusieurs petits dauphins qui s'approchaient de nous par tribord arrière. Et bientôt, des dauphins plus grands ont été aperçus, venant de bâbord et croisant juste devant la proue. C’était un spectacle relativement désorganisé qui s'est déroulé pendant quelques minutes. C'est à ce moment-là que j'ai vu, à bâbord devant, un objet noir émerger verticalement de l'eau à une distance d'environ 100 m. J'ai tout de suite fait le lien avec le nez d'un cachalot, car il n'y avait pas guère de bouée à cet endroit. Quelques secondes plus tard, nous avons observé plusieurs groupes de baleines très proches qui se reposaient visiblement à la surface. En tout cas, aucune activité de plongée ou autre n'a été constatée, à l'exception d'une baleine qui croisait tranquillement notre eau arrière. Si quelqu'un veut s'y rendre et regarder, voici la position : 8°08' de latitude sud / 116°56' de longitude ouest. Dans l'enthousiasme, j'ai négligé mes devoirs en tant que vigie et j'ai filmé un groupe proche quand, à l'improviste, un groupe de deux ou trois baleines est passé à moins d'une longueur de bateau (<15m) et a ainsi été conservé par hasard sur la vidéo. On peut se demander si elles avaient donné un coup de nageoire pour que nous ne les percutions pas. Nous naviguions avec les voiles en papillon au vent à 6 nœuds, c'est-à-dire que le génois et le foc étaient hissés d'un côté et qu'il n'y avait pas de grand-voile. Une navigation simple et calme, idéale pour l'observation des baleines. La proximité de la rencontre m'a rappelé subito que je devais me consacrer à nouveau à l'observation de la route! Il faut dire qu'avec environ deux mètres de houle, l'observation d'une baleine au repos n'aurait sans doute pas laissé le temps de faire une manœuvre d'évitement. Nous avons donc eu une double chance: d'une part, nous avons eu le privilège de pouvoir observer ces baleines à courte distance et, d'autre part, nous avons eu la grande chance de ne pas les percuter. Le 13 mars, le yacht 'Raindancer' n'a pas eu cette chance lorsqu'il a heurté une baleine endormie dans cette zone et qui a ensuite coulé en 15 minutes. L'équipage a pu quitter le navire en bon ordre et a été repêché quelques heures plus tard par des yachts naviguant à proximité, grâce au haut niveau des moyens de communication et de sauvetage modernes. https://www.worldcruising.com/newsarticle.aspx?page=S638150865663939602&ArchiveID=1&CategoryID=190&ItemID=273272&src=""> Il y a des questions et des observations concernant cette expérience :
2. Des baleines à bosse ont probablement été observées, mais elles ne sont généralement pas attendues dans cette région si tôt dans l'année en provenance des eaux antarctiques. Je m'en tiens à mon cachalot, surtout depuis que Wikipedia m'a appris qu'ils font aussi la sieste debout dans l'eau et le nez au ciel, en dormant des deux côtés du cerveau. Voilà des nouvelles – alors ! En raison des nageoires dorsales, il n'est pas possible pour nous, profanes, de faire une détermination claire. 3. Le son de cor des Alpes de Denis lors de l'anniversaire de la mi-temps vendredi aurait-ils attiré les baleines? Les parallèles avec les chants de baleines ne sont en tout cas pas totalement absurdes. 4. Malheureusement, aucun des papillons baleines pataphysiques du Pacifique central n'a pu être observé, à moins qu'il ne s'agisse, vu leur extraordinaire légèreté, d'apparitions à peine visibles. 5. On peut affirmer avec certitude qu'aucun moine, d'origine irlandaise ou autre, n'a campé sur un des dos de baleine. Le récit lors de la réunion radio de l'après-midi de notre expérience avec indication de la position, a provoqué une certaine agitation. On a notamment discuté de la prévention des collisions, dans la mesure où l'on ne pouvait pas éviter la zone. La meilleure proposition semblait être de faire fonctionner un générateur ou un autre moteur pour émettre des ondes sonores dans l'eau. Traduit avec www.DeepL.com/Translator |
