45ème jour de mer. Distance
parcourue (sur le fond) depuis Linton : 4533 NM NM ( à 23h59). Distance du jour
(sur le fond) de minuit à minuit: : 125 NM.
Éloignement en direct de
Linton : 3800 NM (7037 km) et distance en direct de Brest : 623 NM (1155
km).
Bonjour
Vers 02h00 l'attache d'un
lien wishbone-écoute secondaire supérieure de la voile bâbord casse. Sans doute
à cause des accoups brutaux du au tangage sans que les voile soient bien
maintenues par un vent plus fort. Vu le vent faible, je me contente de reprendre
le mou sur l'écoute principale en attendant le jour pour réparer
tranquillement.
A 04h30 je refixe l'écoute
secondaire et à titre préventif, je change le bracelet corne-mât. Durant
l'opération j'aperçois sur le passavant entre la nacelle et la coque tribord
l'antenne VHF au sol. Le support en aluminium d'origine s'était rompu.
C'est l'antenne de la VHF fixe, il me reste l'antenne de l'AIS au sommet de
l'autre mât. Pour remplacer la VHF fixe je laisse en veille l'une de mes 2 VHF
portables.
A 06h00 la voile tribord
est renvoyée., route fond 72° vitesse fond 6 kts avec un vent du 150°/12 kts..
Le vent revient et ainsi avec les deux voiles avec seulement 12 à 13 kts
de vent réel entre près-bon plein et vent de travers je fais du 6 kts de
moyenne.
En soirée constatant qu'un
lazzy jack de la voile bâbord est anormalement usé, j'affale à la nuit tombante
la voile pour réparer demain matin. Comme le vent soufflant maintenant entre 15
et 20 kts du travers, la voile tribord seule qui est mieux placée pour le vent
de travers sera suffisante. Effectivement la perte de vitesse a été
insignifiante. Donc nuit relativement calme en perspective.
Toujours des problèmes de
connexion avec l'Iridium, incroyable!!!
Bonus du jour :
Alors que notre société baigne dans le mensonge, la cupidité, la peur, il est
tant de revenir
aux
principes et valeurs du païen de tradition Hyperboréenne :
L’authentique païen européen, attention aux
contrefaçons!
Le païen authentique n’est
ni religieux ni dans une spiritualité, sa tradition est spirituelle,
certes
mais elle n’a rien à voir avec la « spiritualité » qui est généralement issue
des
courants new age qui ne reposent que sur la créativité de leur inventeur
contemporain.
Alors que le païen lui se repose sur la tradition primordiale,
toutes les religions dérivent de
cette tradition Hyperboréenne dont elles ne
sont que des formes dévoyées et politisées qui
furent mis en œuvre pour
dominer les hommes et les plonger dans un esclavage
mental
invisible.
Le Pagan Hyperboréen est au
contraire dans une démarche d’émancipation, il se veut libre
de toute
dépendance pour se trouver lui même. Il a confiance en lui et dans les
puissances
de la nature, il cherche à s’améliorer, à s’élever, à s’éveiller.
Il ne mise pas sur une éventuelle
récompense qui lui est promise après sa
mort, ne cherche pas non plus à éviter un très
spéculatif « enfer ». Il n’est
pas fataliste quant à la souffrance de ce monde, face au mal, il
est
combattant car il cherche à rétablir l’âge d’or, cette ancienne époque où les
hommes
vivaient en harmonie les uns avec les autres et avec la
nature.
C’est en effet avant tout
dans l’action que le libre païen « pratique » son culte. Car pour lui
tout
est sacré, surtout la vie, il est donc « pieux » lorsqu’il applique les
principes virils,
supérieurs, éthiques et vertueux car conformes à la nature,
il cherche à rétablir l’harmonie,
éloigner les mensonges, rendre la justice,
honorer ses ancêtres et les dieux, c’est à dire les
puissances de la nature.
C’est sa conscience qui lui paie son salaire, le païen est
heureux
parce-qu’il est en paix avec lui même, il dort très bien même si son
comportement « VRAI »
dérange énormément son entourage, ce qui est normal
dans une époque ou les hommes
sont totalement déconnectés des principes et
des lois qui nous dépassent, car leur
conscience n’est pas « éveillée », les
gens de la masse sont anesthésiés, alors que l’homme
libre est pleinement
conscient de la valeur de la vie et de son rôle à jouer dans
celle-ci.
Le Pagan de tradition
Nordique n’a d’autre seigneur que lui même, mais attention, ce « lui
même »
n’est ni son ego ni ses envies égoïstes, c’est le maître intérieur, ce maître
c’est
l’être, la véritable nature de l’individu, la part divine, juste et
vertueuse. Mais pour arriver à ce
stade avancé de conscience, le libre païen
a effectué un travail intérieur, afin de se
connaître, de s’éveiller. Pour
cela la mythologie et les contes lui sont d’une grande aide car
ils mènent à
des justes questionnement, on parle ici d’une puissante philosophie
verticale,
puissante car à la fois amusante, rafraîchissante et profondément
instructive. La
méditation est également d’une grande aide, qu’elle soit
active et physique, ou purement
contemplative, elle permet de se dissocier,
de s’extraire du serpent de Midgard : ces
pensées incessantes qui occupent le
mental.
Il a une bone hygiène de
vie* Il cherche à faire venir la pureté dans le corps, la paix dans
l’âme
puis la vérité dans l’intellect.
Idéaliste ne craignant pas
la mort, celle-ci n’étant qu’un passage, prêt à se sacrifier pour la
beauté
des principes supérieurs, pour préserver l’héritage et le mode de vie de
ses
ancêtres, les indo-européens ont toujours été les guerriers les plus
redoutés de la planète,
leur courage et leur bravoure ayant fait l’objet de
nombreux louanges dans toutes les
mythologies du monde. Rome n’aura réussi à
les vaincre que par la corruption de leur corps
et de leur esprit, par
l’exportation massive de vin, le changement de culture, la mauvaise
influence
de la religion Romaine, le confort, l’argent, autant de choses qui étaient
méprisées
par les Celtes de haute époque et qui vont lentement mais sûrement
affaiblir leur intérêt
pour les valeurs supérieures, valeurs supérieures qui
nourrissaient pourtant leur courage et
leur vaillance, c’est ainsi que les
Gaulois ont été vaincus : par Loki, les femmes et le vin.
Les principes et
valeurs du païen de tradition Hyperboréenne :
L’honneur des ancêtres :
Respecter l’héritage reçu (l’héritage est essentiellement culturel,
spirituel
et intellectuel pour un païen, pas matériel) et le don de soi pour la tribu,
pour les
idéaux et les principes vertueux qui nous dépassent.
Le destin qu’il cherche à
maîtriser autant que son libre arbitre lui permet, il voit sa vie
comme une
chance à honorer, il remercie les dieux en étant conforme à la nature (c’est
la
vertu), car c’est au travers de la nature que les dieux se manifestent. Il
aspire à réaliser de
grands actes, tendant à l’héroïsme pour honorer ses
ancêtres et les dieux, c’est à dire la vie
elle-même.
Respect de la nature et de
l’harmonie cosmique, le païen vie en harmonie avec la nature, il
se voit
comme sont enfant, il se doit de la protéger pour ce qu’elle lui apporte. Il
est
animiste : il pense que toute objet , animal, plante, arbre, homme,
femme, toute les choses
possédant un corps matériel et un corps immatériel
qui vibre (une âme, un esprit, ce qui
commence à être confirmer par la
physique moderne). Le païen est homme qui passe du
temps dans les forêts et
les endroits naturels afin de s’accorder avec les vibrations
universelles, ce
n’est pas un citadin.
Cet homme cherche à
s’élever par lui même puisant sa force à l’intérieur de son être,
en
apprenant a se connaître. La puissance et l’harmonie se trouvent en lui.
Toute solution
réside a l’intérieur de chacun comme les principes universels
divins appelés « dieux ». La
tradition veux que les païens soient éveillés
par des contes, des légendes et la mythologie.
Elles y cachent de multiples
grilles de lecture qui peuvent débloquer des situations a
l’intérieur de
chacun de nous.
L’enracinement, qu’il soit
spirituel et culturel : dans la tradition Hyperboréenne, qu’il soit
matériel
: dans une terre qui fût aussi celle de ses ancêtres (même si c’est
aussi
ponctuellement un voyageur et un aventurier de première classe) , ou
qu’il soit charnel : Un
païen vit en communauté, plus exactement en tribu, la
seule vrai patrie : la famille élargie.
L’organisation politique est une
anarchie organisée : chaque femme, chaque homme,
chaque clan, chaque tribu
est souveraine, mais ils peuvent également se fédérer contre un
ennemi
commun, c’est ce que fit Vercingétorix, bien trop tard
malheureusement.
Les femmes et les hommes
sont égaux en droit, loin du paradigme Abrahamique, les
femmes peuvent
accéder à des responsabilités selon la règle de la méritocratie, cependant
on
est également très loin du féminisme qui tend à masculiniser les femmes. Une
femme
païenne est avant tout la gardienne de la famille et de la tradition,
l’importance de
l’éducation des enfants et de la femme-ILLE étant valorisé
dans cette société tribale, les
femmes sont bien dans leur peau dans tous les
rôles.
Face aux dieux,
ses pratiques rituelles :
Le païens ne met jamais
quelqu’un au dessus de lui mais il ne met jamais quelqu’un en
dessous de lui
non plus, c’est un principe universel garant de la liberté, dans le respect
du
libre arbitre de chacun. En cela le païen est un éternel
insoumis.
Il ne place pas les dieux au dessus de lui mais cherche à les
retrouver en lui à l’aide de son
seigneur intérieur, jamais il ne combattra
en leur nom pour chercher à imposer sa façon de
penser. (on a jamais entendu
un Viking crier « pour la gloire d’Odin », ou « Odin est le plus
grand »).
Cependant il pourra combattre avec leur puissance (par contre on a
souvent
entendu au combat « par Thor » ou « par Toutatis »). Le mot combattre
peut paraître violent
mais le premier combat c’est d’abord le combat
spirituel qui nous amène à la limite de
nous même pour apprendre à nous
connaitre.
Dans la définition du mot
Prière, il y a la connotation de quelqu’un d’inférieur qui demande à
son
supérieur. Le païen ne prie donc pas. En revanche il médite sur lui et il peut
entrer en
communion avec son corps divin.
Le lieu de culte est libre,
la forêt, chez lui… Ce qui n’empêchent pas la communauté de se
réunir à
chacune des 8 fêtes sacrées traditionnelles. Ils peuvent aussi se réunir
chaque
dimanche si bon leur semble, mais pas dans un temple ! Le temple est
dans l’esprit citadin
de confort, de fermeture par rapport à la nature, aux
autres, de privatisation du culte, voir de
commercialisation du sacré
(donnez, donnez pour la paroisse !). De plus l’effet
centralisateur de la
prêtrise tend à favoriser la corruption de celui-ci, cela tend également
à
retirer la responsabilité de transmission intra-familliale « grand-père à
petit fils »
d’éducation culturel, le temple s’érige ainsi en intermédiaire
entre les hommes du clan,
comme un intru.
Un païen de tradition
européenne n’est pas un idolâtre, contrairement aux « pseudopaïens
» de la
tradition polythéiste égyptienne d’Isis : Des citadins déconnectés de
la
source, matriciens, ils autorisent les rapports entre frères et sœurs (les
pharaons, comme
les rois de France, avaient des relations incestueuses qui
ont engendré la dégénérescence
de leur lignée) et une sexualité dépravée, des
orgies de vin et de bière qui menèrent à la
décadence et à la disparition de
la civilisation égyptienne antique.
Pas de prosélytisme, cette
maladie de la conversion de toujours plus de monde, comme
pour se rassurer
que l’on a raison, ne touche pas les libres païens puisqu’ils ne sont
pas
vraiment dans des croyances, ni dans une religion, mais animés de
principes issues d’une
tradition enracinée : La tradition primordiale,
ancestrale et d’origine Polaire.
Et maintenant le
réel :
Comment détecter un faux
mouvement païen à la solde de l’empire mondialiste, comment
trier le bon
grain de l’ivraie ? Voici les marqueurs qui permettent de différencier un
païen
authentique enraciné dans la tradition Hyperboréenne, d’un néo-païen
new age, ou pseudo
païen abrahamico-darwino-compatible :
-Les fils de Bor
revendiquent l’origine Nordique de leur tradition, de leurs ancêtres et de
la
civilisation.
-Un Pagan de tradition
Européenne, ne parle pas de croyance ou de religion, mais de
principes et de
tradition.
-Un libre païen ne prie
guère, il respecte les puissances mais ne s’y soumet pas, pas plus
qu’il ne
cherche à soumettre quiconque.
-Un Hyperboréen pense que
le destin n’est pas totalement écrit à l’avance : Sa première
pratique est
l’amélioration de soi, le mode de vie Olympien.
-Les dieux sont soit les
grands ancêtres, soit les forces de la nature visible et invisible.
Oleg de
Normandie
* (les Celtes de haute
époque, avant l’apparition du vin Romain en
provenance
d’Italie, ne buvaient pas d’alcool, à part dans les
fêtes traditionnelles où son
usage était
autorisé)
Source : pagans.eu/lauthentique-paien-europeen-attention-aux-contre-facons