46:57.000N 19:48.000W Le Vendre di 15 Mai 2020 à 23h59 (UTC-01h 00) : Du Panama à la Bretagne

GRAND PHA
Bertrand et Marie-Helene FERCOT
Sat 16 May 2020 13:40

45ème jour de mer. Distance parcourue (sur le fond) depuis Linton : 4533 NM NM ( à 23h59). Distance du jour (sur le fond)  de minuit à minuit: : 125 NM.

Éloignement en direct de Linton : 3800 NM (7037 km) et distance en direct de Brest : 623 NM (1155 km).


Bonjour

Vers 02h00 l'attache d'un lien wishbone-écoute secondaire supérieure de la voile bâbord casse. Sans doute à cause des  accoups brutaux du au tangage sans que les voile soient bien maintenues par un vent plus fort. Vu le vent faible, je me contente de reprendre le mou sur l'écoute principale en attendant le jour pour réparer tranquillement.

A 04h30 je refixe l'écoute secondaire et à titre préventif, je change le bracelet corne-mât. Durant l'opération j'aperçois sur le passavant entre la nacelle et la coque tribord l'antenne VHF au sol. Le support en aluminium  d'origine s'était rompu. C'est l'antenne de la VHF fixe, il me reste l'antenne de l'AIS au sommet de l'autre mât. Pour remplacer la VHF fixe je laisse en veille l'une de mes 2 VHF portables.

A 06h00 la voile tribord est renvoyée., route fond 72° vitesse fond 6 kts avec un vent du 150°/12 kts.. Le vent  revient et ainsi avec les deux voiles avec seulement 12 à 13 kts de vent réel entre près-bon plein et vent de travers je fais du 6 kts de moyenne.

En soirée constatant qu'un lazzy jack de la voile bâbord est anormalement usé, j'affale à la nuit tombante la voile pour réparer demain matin. Comme le vent soufflant maintenant entre 15 et 20 kts du travers, la voile tribord seule qui est mieux placée pour le vent de travers sera suffisante. Effectivement la perte de vitesse a été insignifiante. Donc nuit relativement calme en perspective.

Toujours des problèmes de connexion avec l'Iridium, incroyable!!!


Bonus du jour : Alors que notre société baigne dans le mensonge, la cupidité, la peur, il est tant de revenir
aux principes et valeurs du païen de tradition Hyperboréenne :


L’authentique païen européen, attention aux contrefaçons!

Le païen authentique n’est ni religieux ni dans une spiritualité, sa tradition est spirituelle,
certes mais elle n’a rien à voir avec la « spiritualité » qui est généralement issue des
courants new age qui ne reposent que sur la créativité de leur inventeur contemporain.
Alors que le païen lui se repose sur la tradition primordiale, toutes les religions dérivent de
cette tradition Hyperboréenne dont elles ne sont que des formes dévoyées et politisées qui
furent mis en œuvre pour dominer les hommes et les plonger dans un esclavage mental
invisible.

Le Pagan Hyperboréen est au contraire dans une démarche d’émancipation, il se veut libre
de toute dépendance pour se trouver lui même. Il a confiance en lui et dans les puissances
de la nature, il cherche à s’améliorer, à s’élever, à s’éveiller. Il ne mise pas sur une éventuelle
récompense qui lui est promise après sa mort, ne cherche pas non plus à éviter un très
spéculatif « enfer ». Il n’est pas fataliste quant à la souffrance de ce monde, face au mal, il
est combattant car il cherche à rétablir l’âge d’or, cette ancienne époque où les hommes
vivaient en harmonie les uns avec les autres et avec la nature.

C’est en effet avant tout dans l’action que le libre païen « pratique » son culte. Car pour lui
tout est sacré, surtout la vie, il est donc « pieux » lorsqu’il applique les principes virils,
supérieurs, éthiques et vertueux car conformes à la nature, il cherche à rétablir l’harmonie,
éloigner les mensonges, rendre la justice, honorer ses ancêtres et les dieux, c’est à dire les
puissances de la nature. C’est sa conscience qui lui paie son salaire, le païen est heureux
parce-qu’il est en paix avec lui même, il dort très bien même si son comportement « VRAI »
dérange énormément son entourage, ce qui est normal dans une époque ou les hommes
sont totalement déconnectés des principes et des lois qui nous dépassent, car leur
conscience n’est pas « éveillée », les gens de la masse sont anesthésiés, alors que l’homme
libre est pleinement conscient de la valeur de la vie et de son rôle à jouer dans celle-ci.

Le Pagan de tradition Nordique n’a d’autre seigneur que lui même, mais attention, ce « lui
même » n’est ni son ego ni ses envies égoïstes, c’est le maître intérieur, ce maître c’est
l’être, la véritable nature de l’individu, la part divine, juste et vertueuse. Mais pour arriver à ce
stade avancé de conscience, le libre païen a effectué un travail intérieur, afin de se
connaître, de s’éveiller. Pour cela la mythologie et les contes lui sont d’une grande aide car
ils mènent à des justes questionnement, on parle ici d’une puissante philosophie verticale,
puissante car à la fois amusante, rafraîchissante et profondément instructive. La
méditation est également d’une grande aide, qu’elle soit active et physique, ou purement
contemplative, elle permet de se dissocier, de s’extraire du serpent de Midgard : ces
pensées incessantes qui occupent le mental.

Il a une bone hygiène de vie* Il cherche à faire venir la pureté dans le corps, la paix dans l’âme
puis la vérité dans l’intellect.

Idéaliste ne craignant pas la mort, celle-ci n’étant qu’un passage, prêt à se sacrifier pour la
beauté des principes supérieurs, pour préserver l’héritage et le mode de vie de ses
ancêtres, les indo-européens ont toujours été les guerriers les plus redoutés de la planète,
leur courage et leur bravoure ayant fait l’objet de nombreux louanges dans toutes les
mythologies du monde. Rome n’aura réussi à les vaincre que par la corruption de leur corps
et de leur esprit, par l’exportation massive de vin, le changement de culture, la mauvaise
influence de la religion Romaine, le confort, l’argent, autant de choses qui étaient méprisées
par les Celtes de haute époque et qui vont lentement mais sûrement affaiblir leur intérêt
pour les valeurs supérieures, valeurs supérieures qui nourrissaient pourtant leur courage et
leur vaillance, c’est ainsi que les Gaulois ont été vaincus : par Loki, les femmes et le vin.

Les principes et valeurs du païen de tradition Hyperboréenne :

L’honneur des ancêtres : Respecter l’héritage reçu (l’héritage est essentiellement culturel,
spirituel et intellectuel pour un païen, pas matériel) et le don de soi pour la tribu, pour les
idéaux et les principes vertueux qui nous dépassent.

Le destin qu’il cherche à maîtriser autant que son libre arbitre lui permet, il voit sa vie
comme une chance à honorer, il remercie les dieux en étant conforme à la nature (c’est la
vertu), car c’est au travers de la nature que les dieux se manifestent. Il aspire à réaliser de
grands actes, tendant à l’héroïsme pour honorer ses ancêtres et les dieux, c’est à dire la vie
elle-même.

Respect de la nature et de l’harmonie cosmique, le païen vie en harmonie avec la nature, il
se voit comme sont enfant, il se doit de la protéger pour ce qu’elle lui apporte. Il est
animiste : il pense que toute objet , animal, plante, arbre, homme, femme, toute les choses
possédant un corps matériel et un corps immatériel qui vibre (une âme, un esprit, ce qui
commence à être confirmer par la physique moderne). Le païen est homme qui passe du
temps dans les forêts et les endroits naturels afin de s’accorder avec les vibrations
universelles, ce n’est pas un citadin.

Cet homme cherche à s’élever par lui même puisant sa force à l’intérieur de son être, en
apprenant a se connaître. La puissance et l’harmonie se trouvent en lui. Toute solution
réside a l’intérieur de chacun comme les principes universels divins appelés « dieux ». La
tradition veux que les païens soient éveillés par des contes, des légendes et la mythologie.
Elles y cachent de multiples grilles de lecture qui peuvent débloquer des situations a
l’intérieur de chacun de nous.

L’enracinement, qu’il soit spirituel et culturel : dans la tradition Hyperboréenne, qu’il soit
matériel : dans une terre qui fût aussi celle de ses ancêtres (même si c’est aussi
ponctuellement un voyageur et un aventurier de première classe) , ou qu’il soit charnel : Un
païen vit en communauté, plus exactement en tribu, la seule vrai patrie : la famille élargie.
L’organisation politique est une anarchie organisée : chaque femme, chaque homme,
chaque clan, chaque tribu est souveraine, mais ils peuvent également se fédérer contre un
ennemi commun, c’est ce que fit Vercingétorix, bien trop tard malheureusement.

Les femmes et les hommes sont égaux en droit, loin du paradigme Abrahamique, les
femmes peuvent accéder à des responsabilités selon la règle de la méritocratie, cependant
on est également très loin du féminisme qui tend à masculiniser les femmes. Une femme
païenne est avant tout la gardienne de la famille et de la tradition, l’importance de
l’éducation des enfants et de la femme-ILLE étant valorisé dans cette société tribale, les
femmes sont bien dans leur peau dans tous les rôles.

Face aux dieux, ses pratiques rituelles :

Le païens ne met jamais quelqu’un au dessus de lui mais il ne met jamais quelqu’un en
dessous de lui non plus, c’est un principe universel garant de la liberté, dans le respect du
libre arbitre de chacun. En cela le païen est un éternel insoumis.

Il ne place pas les dieux au dessus de lui mais cherche à les retrouver en lui à l’aide de son
seigneur intérieur, jamais il ne combattra en leur nom pour chercher à imposer sa façon de
penser. (on a jamais entendu un Viking crier « pour la gloire d’Odin », ou « Odin est le plus
grand »). Cependant il pourra combattre avec leur puissance (par contre on a souvent
entendu au combat « par Thor » ou « par Toutatis »). Le mot combattre peut paraître violent
mais le premier combat c’est d’abord le combat spirituel qui nous amène à la limite de
nous même pour apprendre à nous connaitre.

Dans la définition du mot Prière, il y a la connotation de quelqu’un d’inférieur qui demande à
son supérieur. Le païen ne prie donc pas. En revanche il médite sur lui et il peut entrer en
communion avec son corps divin.

Le lieu de culte est libre, la forêt, chez lui… Ce qui n’empêchent pas la communauté de se
réunir à chacune des 8 fêtes sacrées traditionnelles. Ils peuvent aussi se réunir chaque
dimanche si bon leur semble, mais pas dans un temple ! Le temple est dans l’esprit citadin
de confort, de fermeture par rapport à la nature, aux autres, de privatisation du culte, voir de
commercialisation du sacré (donnez, donnez pour la paroisse !). De plus l’effet
centralisateur de la prêtrise tend à favoriser la corruption de celui-ci, cela tend également à
retirer la responsabilité de transmission intra-familliale « grand-père à petit fils »
d’éducation culturel, le temple s’érige ainsi en intermédiaire entre les hommes du clan,
comme un intru.

Un païen de tradition européenne n’est pas un idolâtre, contrairement aux « pseudopaïens
» de la tradition polythéiste égyptienne d’Isis : Des citadins déconnectés de la
source, matriciens, ils autorisent les rapports entre frères et sœurs (les pharaons, comme
les rois de France, avaient des relations incestueuses qui ont engendré la dégénérescence
de leur lignée) et une sexualité dépravée, des orgies de vin et de bière qui menèrent à la
décadence et à la disparition de la civilisation égyptienne antique.

Pas de prosélytisme, cette maladie de la conversion de toujours plus de monde, comme
pour se rassurer que l’on a raison, ne touche pas les libres païens puisqu’ils ne sont pas
vraiment dans des croyances, ni dans une religion, mais animés de principes issues d’une
tradition enracinée : La tradition primordiale, ancestrale et d’origine Polaire.

Et maintenant le réel :

Comment détecter un faux mouvement païen à la solde de l’empire mondialiste, comment
trier le bon grain de l’ivraie ? Voici les marqueurs qui permettent de différencier un païen
authentique enraciné dans la tradition Hyperboréenne, d’un néo-païen new age, ou pseudo
païen abrahamico-darwino-compatible :

-Les fils de Bor revendiquent l’origine Nordique de leur tradition, de leurs ancêtres et de la
civilisation.

-Un Pagan de tradition Européenne, ne parle pas de croyance ou de religion, mais de
principes et de tradition.

-Un libre païen ne prie guère, il respecte les puissances mais ne s’y soumet pas, pas plus
qu’il ne cherche à soumettre quiconque.

-Un Hyperboréen pense que le destin n’est pas totalement écrit à l’avance : Sa première
pratique est l’amélioration de soi, le mode de vie Olympien.

-Les dieux sont soit les grands ancêtres, soit les forces de la nature visible et invisible.

Oleg de Normandie

* (les Celtes de haute époque, avant l’apparition du vin Romain en provenance
d’Italie, ne buvaient pas d’alcool, à part dans les fêtes traditionnelles où son
usage était autorisé)

Source :  pagans.eu/lauthentique-paien-europeen-attention-aux-contre-facons